5/17/2010

L'UE a adopté son expérience de consolidation régionale avec les pays comme le Brésil, la Russie et la Chine.


La réduction des disparités économiques entre les régions est un objectif clé de l'UE, qui consacre 44% de son budget à promouvoir la compétitivité régionale. De nombreux projets de formation de la main-d'œuvre locale, encourager l'entreprise, amélioration des infrastructures et protection de l'environnement visent à aider les régions les plus pauvres de l'UE à la hauteur de ses voisins.

Un exemple en est la construction d'un hôpital public en Hongrie, un système d'énergie solaire a été importantes économies d'énergie, a créé des emplois locaux et a popularisé cette source d'énergie dans la région.

Certains pays comme la Chine, la Russie et le Brésil, qui sont aussi grandes différences régionales et ont plusieurs niveaux de gouvernement ont exprimé leur intérêt pour la coopération et la comparaison des expériences avec l'UE.

La coopération sera examiné lors d'une conférence de EnglishEspañol Etat et les représentants régionaux en Europe, Afrique, Russie, Chine et Amérique du Sud. Les participants examineront la manière d'organiser un système efficace de gouvernance qui permettent d'appliquer des politiques de développement régional.

La Conférence est la première initiative concrète pour faire connaître aux pays tiers mécanismes et critères de sélection sont utilisés pour financer des projets régionaux. La politique régionale européenne fonctionne grâce à un système qui intègre les niveaux européen, national, régional et local.

Avec la participation de représentants régionaux et locaux dans le développement de stratégies et la sélection des projets, des organisations actives dans le domaine de se sentir plus proches du centre de décisions de l'UE. C'est quelque chose d'un intérêt particulier pour les grands pays comme la Russie et la Chine, qui se disent prêts à réduire les disparités régionales, pour rendre ses politiques plus transparentes et donnent davantage de voix aux régions par la décentralisation.


Ana María Sánchez

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