5/23/2010

Processus de Bologne


Je vais parler d'une question très importante dans l'Union européenne en tant que processus de Bologne:
Processus de Bologne est le nom donné au processus engagé après la Déclaration de Bologne, ont signé un accord en 1999 que ministres de l'éducation de divers pays en Europe (l'UE et d'autres pays comme la Russie et la Turquie). la ville italienne de Bologne. C'était une déclaration commune (de l'UE n'a aucune compétence en matière d'éducation) qui a commencé un processus de convergence qui visait à faciliter l'échange d'études supérieures et adapter le contenu des études universitaires à la demande sociale.


La Déclaration de Bologne conduit à la création de l'Espace européen de l'enseignement supérieur, une zone dans laquelle les pays ont été inclus et qui servirait de cadre pour la réforme de l'éducation que de nombreux pays devraient commencer au début du vingt et unième. Cet accord s'inscrit dans le cadre de l'Accord général sur le commerce des services, signé en 1995 et dont le but est dit "à libéraliser le commerce des services» dans le monde (parce que l'OMC comprend 151 pays, y compris l'ensemble de l'Union européenne) d'introduire marché, car «le financement public est un élément de distorsion du marché."
Pour de nombreux secteurs de la société, le processus de Bologne va au-delà ce qui a été signée à Bologne , incluant tous les aspects de la réforme des universités qui sont considérées comme plus importantes, notamment celles relatives au financement des universités publiques, [48 ] et a beaucoup de détracteurs et les opposants.
fdo: Borja Casquero

Le drapeau de L'europe:


Il s'agit du drapeau européen. Il est le symbole non seulement de l'Union européenne mais aussi de l'unité et l'identité de l'Europe dans un sens plus large. Le cercle d'étoiles dorées représente la solidarité et l'harmonie entre les peuples de l'Europe.

Le nombre d'étoiles n'a rien à voir avec le nombre d'États membres. Il ya douze étoiles, car le nombre douze est traditionnellement un symbole de perfection, de plénitude et d'unité.
Par conséquent, le drapeau ne change pas avec l'élargissement de l'UE.



L'histoire du drapeau :

A cette époque, l'Union européenne n'existait que sous la forme de Communauté européenne du charbon et de l'acier a été formé par six États membres.
Mais un organisme distinct avec une plus grande adhésion - Le Conseil de l'Europe - a créé il ya plusieurs années pour défendre les droits de l'homme et promouvoir la culture européenne.

Le Conseil de l'Europe cherchait un symbole pour son propre usage. Après une longue discussion, la conception actuelle a été adoptée (cercle de douze étoiles d'or sur fond bleu). Dans différentes traditions, douze est un chiffre symbolique qui représente l'intégrité, mais aussi, bien sûr, le nombre de mois de l'année et le nombre d'heures qui apparaissent sur le cadran de la montre.
Le cercle est, entre autres, un symbole d'unité.

Le Conseil de l'Europe a encouragé les autres institutions européennes à adopter le même drapeau et le Parlement européen a accepté en 1983.
Enfin, en 1985, le drapeau a été adopté par les chefs d'État et de gouvernement de l'UE comme l'emblème officiel de l'Union européenne (à l'époque appelé Communautés européennes).

Toutes les institutions européennes ont été utilisées depuis 1986.
Le drapeau européen est le seul emblème de la Commission européenne, organe exécutif de l'UE. D'autres institutions et organes de l'UE utilisent aussi un emblème propre.

fdo.: Borja casquero Herrero


Langues officielles de l'Union européenne

je vais parler des differents langues parlées en europe.



Le nombre d'États membres dépasse le nombre de langues officielles comme langues différentes sont parlées dans plusieurs pays. Par exemple, le néerlandais est officielle aux Pays-Bas et la Belgique, le français en France, en Belgique et au Luxembourg, et en grec, en Grèce et à Chypre. L'Allemand, pour sa part, est officiel en Allemagne, en Autriche, au Luxembourg et en Belgique. L'anglais est officielle au Royaume-Uni et la majorité en Irlande, et le suédois en Suède et en Finlande.

En outre, toutes les langues officielles sont reconnues comme langues officielles dans l'UE.
C'est le cas de la langue luxembourgeoise, la langue officielle du Luxembourg depuis 1984.

Toutes les langues officielles de l'UE sont également les langues de travail. Les documents dont un État membre ou d'une personne soumise à la juridiction d'un État membre envoie à des institutions de la Communauté peuvent être rédigées dans n'importe quelle langue officielle de l'UE. La réponse est dans la langue dans laquelle le document a été envoyé. Règlements et autres documents d'intérêt général, selon le Journal officiel de l'Union européenne, sont écrits dans toutes les langues officielles. Par exemple, pendant la présidence finlandaise en 1999 et 2006 ont été publiées dans les textes en langue latine, dans le bulletin d'information hebdomadaire. Législation et des principaux documents publics sont écrites dans les 23 langues officielles, bien que cela ne se produit que rarement.

Le coût du maintien de cette politique multilingue, qui est, traductions et interprétations, est de 1.123 millions d'euros ,ce qui représente 1% du PIB de l'UE. Cela signifie que chaque habitant de l'Union européenne verse 2,28 par an.
-La carte verte représente le pays lequels la langue anglaise est parlée.
-La carte de couleur orange représente les pays où on parle le français.

fdo: Borja casuero Herrero

5/19/2010

LA SANTÉ DANS L’UE: Statistiques


Un des principaux objectifs de la stratégie de l'Union européenne (UE) en matière de santé publique est de produire des informations comparables sur la santé et les systèmes de santé dans l'Union. En créant un système de surveillance de la santé, l'Union vise à améliorer l'information et la connaissance dans ce domaine. Cette tâche comporte la définition d'indicateurs, la collecte de données relatives à la santé, la réalisation d'analyses statistiques pertinentes, l'évaluation régulière de la situation sanitaire et l'échange de bonnes pratiques en matière de santé publique au niveau européen.
Le précédent programme de surveillance de la santé publique avait commencé la collecte de données relatives à la santé et la définition d'indicateurs pour améliorer la collecte et l'analyse des données. Le nouveau programme de santé publique poursuit ce travail de définition et de collecte afin de contribuer au développement des structures de surveillance: analyse des besoins de données, définition d'indicateurs et garantie de la qualité, soutien technique aux actions nationales, collecte de données, évaluation et analyse ainsi que promotion des résultats. La collaboration et la coordination étroites avec Eurostat et ses groupes partenaires revêtent une importance cruciale. Ce système devrait compléter les activités d'organisations internationales telles que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).

Dans ce contexte, l'UE encourage la rédaction de rapports réguliers sur la situation sanitaire en Europe afin de présenter des données précises sur la santé et d'en assurer une large diffusion. L'objectif est d'améliorer la connaissance et la compréhension des citoyens des grandes questions de santé en Europe afin de soutenir les mesures adéquates prises aussi bien individuellement, qu'au niveau national et européen. Les sujets suivants constituent des domaines d'activité majeurs: déterminants de la santé et situation sanitaire, analyse de scénarios futurs et de solutions politiques envisageables en matière de santé, poids économique et social de l'alcoolisme, questions liées à la santé génésique et au VIH/SIDA, poids économique et social de la santé mentale et d'autres maladies connexes en Europe, de même que les blessures dans l'UE, notamment les automutilations et la violence, et les aspects de la santé liés au sexe.

En outre, les données recueillies sur les années de vie en bonne santé, qui mesurent les années pendant lesquelles une personne d'un certain âge devrait encore pouvoir vivre en bonne santé, constituent un indicateur fiable pour le suivi de la santé en tant que facteur économique/de productivité et fournissent un aperçu intéressant des principales caractéristiques du statut sanitaire d'une population et des déterminants de la santé.

Luna Mora Figueroa.

LA SANTÉ DANS L’UE: Recherche

Pour assurer un haut degré de protection de la santé, mieux comprendre les maladies humaines et découvrir de nouveaux remèdes, les mesures relatives à la santé publique doivent être intégrées à diverses politiques afin de pouvoir les mettre en œuvre dans le cadre de stratégies communes. Les actions entreprises notamment dans le domaine de la recherche et du développement technologique jouent ici un rôle particulièrement important.

Les citoyens européens s'inquiètent de questions complexes telles que la sécurité alimentaire, les nouvelles maladies transmissibles et les éventuels effets sur la santé de substances présentes dans l'environnement. C'est pour cette raison que l'Union européenne a élaboré la notion d'espace européen de la recherche (EER) afin d'améliorer la coordination des activités de recherche et des politiques, tant nationales qu'européennes, d'organiser la coopération internationale par la mise en place d'équipes travaillant en réseau et d'accroître la mobilité des chercheurs et la diffusion des idées. Les programmes-cadres de recherche et de développement technologique sont les principaux instruments financiers et juridiques de mise en œuvre de l'EER, aux côtés des initiatives nationales et des autres activités européennes conjointes de recherche.

Les priorités et les objectifs de santé publique sont pris en considération lors de la conception des programmes et des actions de recherche. Le concours de scientifiques aux politiques de santé publique intervient aux stades de la conception, de l'élaboration, de la mise en œuvre et du suivi des actions. Des projets actuels de recherche, intersectoriels et pluridisciplinaires, combinent leurs activités dans différents domaines — environnement et santé, nutrition, biomédecine, génomique et biotechnologie, par exemple — pour atteindre un objectif global: le bien-être et le vieillissement en bonne santé.

Luna Mora Figueroa.

LA SANTÉ DANS L’UE: Prévention et promotion


Les citoyens de l’Union européenne (UE) n’ont jamais vécu aussi longtemps, et leur espérance de vie ne cesse de s'accroître. Toutefois, la santé de la population de l'UE est loin d'être aussi bonne qu'elle le pourrait et le niveau de morbidité évitable et de mortalité précoce reste élevé. Les conditions socio-économiques et les conditions de vie et de travail qui en découlent constituent les déterminants de la santé les plus importants. C'est eux que visent les politiques économiques et sociales de l'UE. Le tabagisme, l'alimentation, l'activité physique, la consommation d'alcool, ainsi que le comportement des individus vis-à-vis d'eux-mêmes et des autres figurent parmi les autres grands déterminants de la santé. Les accidents et les blessures, les troubles mentaux, les cancers, ainsi que les maladies circulatoires et respiratoires constituent les principales causes de décès prématurés et de handicap.

Toutes ces pathologies peuvent faire l’objet de mesures efficaces de prévention et de promotion de la santé. La législation et la réglementation, comme les lois sur le port de la ceinture de sécurité, la sécurité routière et les restrictions appliquées à la composition, à la commercialisation et à l'usage des produits du tabac, fournissent un appui essentiel aux efforts de prévention. L'information du public constitue également une mesure à ne pas négliger, mais elle ne suffit généralement pas à provoquer des comportements plus sains. Les mesures en faveur de la santé sont souvent particulièrement efficaces lorsqu'elles mettent en œuvre des méthodes qui aident les consommateurs à faire de meilleurs choix dans leur vie quotidienne. Les lieux où les gens passent une grande partie ou la totalité de leur temps, comme le lieu de travail, l'école ou la prison, peuvent jouer un rôle important à cet égard.
Le programme de santé publique de l'UE (2008-2013) prévoit des mesures visant à promouvoir la santé en tenant compte des principaux facteurs de mauvaise santé associés à la morbidité et à la mortalité précoce. Des projets et initiatives spécifiques sont ainsi mis en œuvre afin de sensibiliser davantage la population, de diffuser des informations et de partager des bonnes pratiques. L’UE a par exemple lancé des campagnes d’information et des actions afin de sensibiliser aux effets néfastes de la consommation de tabac et d’alcool, de promouvoir la santé sexuelle et la prévention du VIH/SIDA et de réduire le nombre de blessures et d’accidents. Elle encourage également la mise en œuvre de programmes de dépistage dans le cadre de la prévention des cancers.

La coopération et la coordination entre les pays européens et les organisations internationales renforcent l'efficacité des politiques de prévention. L'UE soutient les échanges d’informations et de bonnes pratiques, qui permettent d'améliorer le niveau de protection de la santé dans l'ensemble de la Communauté.

Luna Mora Figueroa.

LA SANTÉ DANS L’UE: Politiques


L'action de l’Union européenne (UE) en matière de santé vise à améliorer la santé publique, à prévenir les maladies et les affections humaines et à déterminer les causes de danger pour la santé humaine. Pour réaliser ces objectifs, l'Union a été amenée à regrouper les domaines d'action relatifs à la santé au niveau de l'UE, afin de créer un ensemble cohérent de politiques dans ce domaine.
Par sa stratégie en matière de santé, l’UE contribue à l’amélioration de la santé publique en Europe, et apporte ainsi une valeur ajoutée aux mesures prises par les États membres, tout en respectant pleinement leurs responsabilités dans l’organisation et la prestation des services et des soins de santé.

Les objectifs de la stratégie de l’Union européenne en matière de santé consistent principalement à renforcer la coopération et la coordination, à encourager l'échange de connaissances et d’informations fiables, et à aider à la prise de décision au niveau national. À cette fin, l’UE élabore un système d'information global en matière de santé, qui vise à fournir un accès, dans toute l'Union, à des informations fiables et actualisées sur des questions de santé essentielles, et ainsi à offrir une base à une analyse commune des facteurs influant sur la santé publique.
Par ailleurs, l’UE souhaite améliorer les capacités de réaction rapide aux menaces pour la santé. C'est pourquoi elle renforce la surveillance épidémiologique et le contrôle des maladies infectieuses.
Enfin, l'UE veille à la sécurité des patients et à la qualité des soins de santé et entend faciliter les prestations transfrontalières de soins, ainsi que la mobilité des professionnels de la santé et des patients.

Les liens entre les politiques de santé et de protection des consommateurs sont particulièrement étroits. Dans ce domaine, les grandes priorités sont la sécurité des produits et des services, notamment la sécurité des aliments et le système d'alerte rapide pour les aliments.
D’autres domaines d’action sont particulièrement importants pour garantir un niveau élevé de protection de la santé. Ainsi, les politiques en matière de santé et de sécurité au travail ont pour objectif la protection contre les risques sur le lieu de travail, les accidents du travail et les maladies professionnelles. Pour parvenir à un niveau élevé de protection de la santé, les politiques relatives à l'environnement et à la santé doivent elles aussi être menées de front. Les programmes portant sur l’évolution technologique et la société de l’information contiennent des volets liés aux systèmes de santé et à la santé publique. Les fonds structurels soutiennent les investissements régionaux dans le domaine de la santé en vue de contribuer à la réduction des inégalités en matière de santé entre et dans les États membres, et d'encourager ainsi la cohésion sociale et économique dans toute l'Europe. Plusieurs projets de recherche spécifiques ont été mis en place en vue de fournir un soutien scientifique aux effort déployés pour relever les défis en matière de santé. Enfin, l'évaluation et l’autorisation des médicaments est également un domaine en lien avec la protection de la santé publique.

Luna Mora Figueroa.

5/17/2010

LES RELIGIONS


Le christianisme est la religion majoritaire dans tous les pays de l'UE et y est divisée en trois grandes confessions :

  • les catholiques (principalement à l'ouest, au centre, au sud-ouest et au nord-est de l'UE) ;
  • les orthodoxes (majoritairement au sud-est) ;
  • les protestants (surtout au centre, à l'ouest et au nord).

De plus, l'UE accueille quelques communautés israélites. D'autres minorités religieuses y sont également présentes, principalement par le fait de l'immigration : islam, bouddhisme, christianisme oriental, hindouisme, etc.

Le droit communautaire n'ignore pas les religions et les faits religieux mais le statut des religions est du ressort de chacun des États adhérents[39]. Cependant les racines chrétiennes ne sont pas reconnues par l'Union européenne, à la satisfaction de la Turquie (qui n'est pourtant pas membre) : Abdullah Gül, alors ministre turc des Affaires étrangères, s’est exclamé le 19 juin 2004 : « Il n’y a pas de référence à la religion chrétienne. C’est une bonne Constitution qui remplit les attentes de la Turquie. »

D'autre part, l'Europe peut être considérée comme un des continents les moins religieux du globe. Ainsi, selon une enquête de l'eurobaromètre de juin 2005, si 52% des européens disent croire en un dieu, 18% affirment ne croire en aucune forme de divinité, d'esprit ou de force supérieure. Selon ce sondage, dans 15 des 25 pays que comptait l'Union à cette époque, les personnes indiquant croire en un dieu étaient minoritaires ; la France était le pays avec la plus forte proportion de personne ne croyant en aucune force surnaturelle (1/3 de la population), tandis que l'Estonie et la République tchèque étaient les deux pays où le nombre de personnes croyant en un dieu était le plus faible.


fdo: Borja Casquero Herrero

L'UE a adopté son expérience de consolidation régionale avec les pays comme le Brésil, la Russie et la Chine.


La réduction des disparités économiques entre les régions est un objectif clé de l'UE, qui consacre 44% de son budget à promouvoir la compétitivité régionale. De nombreux projets de formation de la main-d'œuvre locale, encourager l'entreprise, amélioration des infrastructures et protection de l'environnement visent à aider les régions les plus pauvres de l'UE à la hauteur de ses voisins.

Un exemple en est la construction d'un hôpital public en Hongrie, un système d'énergie solaire a été importantes économies d'énergie, a créé des emplois locaux et a popularisé cette source d'énergie dans la région.

Certains pays comme la Chine, la Russie et le Brésil, qui sont aussi grandes différences régionales et ont plusieurs niveaux de gouvernement ont exprimé leur intérêt pour la coopération et la comparaison des expériences avec l'UE.

La coopération sera examiné lors d'une conférence de EnglishEspañol Etat et les représentants régionaux en Europe, Afrique, Russie, Chine et Amérique du Sud. Les participants examineront la manière d'organiser un système efficace de gouvernance qui permettent d'appliquer des politiques de développement régional.

La Conférence est la première initiative concrète pour faire connaître aux pays tiers mécanismes et critères de sélection sont utilisés pour financer des projets régionaux. La politique régionale européenne fonctionne grâce à un système qui intègre les niveaux européen, national, régional et local.

Avec la participation de représentants régionaux et locaux dans le développement de stratégies et la sélection des projets, des organisations actives dans le domaine de se sentir plus proches du centre de décisions de l'UE. C'est quelque chose d'un intérêt particulier pour les grands pays comme la Russie et la Chine, qui se disent prêts à réduire les disparités régionales, pour rendre ses politiques plus transparentes et donnent davantage de voix aux régions par la décentralisation.


Ana María Sánchez

Shanghai 2010: première pour l'UE


Lors de l'Exposition universelle de Shanghai, l'UE est présentée pour la première fois devant le large public chinois.

C'est la première fois l'Union européenne participe à une exposition universelle en dehors de l'Europe a invité par la Chine, son deuxième partenaire commercial le plus important, sera présente pendant six mois, du 1 er mai, dans la métropole industrielle et financière de Shanghai EnglishEspañol.

L'UE partagera son pavillon avec la Belgique Español, un pays qui assumera sa présidence dans le semestre d'été. Dans le quartier «européen» de l'Expo, l'Union sera présent ainsi que la plupart de ses États membres.

L'exposition est prévue dans plus de 70 millions de visiteurs. Le président de la Commission Jose Manuel Barroso, a déjà visité le pavillon belgoeuropeo.

Avec le thème «Intelligent Europe", l'UE souhaite introduire au peuple chinois et les visiteurs du monde entier les réalisations de l'Europe sans frontières, comme Erasmus et l'euro. L'itinéraire du drapeau européen en 3D illustre également les questions d'environnement et de l'histoire de l'Europe et certains de ses merveilles les plus emblématiques comme l'Acropole et de la Tour Eiffel.

Ceci est complété par des manifestations culturelles: en plus d'un festival des sciences, des concerts et du théâtre, aura sa place dans le football européen. Michel Platini, président de l'UEFA, est un commanditaire du drapeau de l'UE, et, dans une semaine thématique, sera l'hôte d'un match entre une équipe d'étoiles du football européen contre une équipe équivalent chinois.


Photo: Shanghai

Ana María Sánchez

EL EURO


El euro (€) es la moneda oficial de 16 de 27 estados miembros de la Unión Europea. Los estados, conocidos colectivamente como la Eurozona, son Alemania, Austria, Bélgica, Chipre, Eslovaquia, Eslovenia, España, Finlandia, Francia, Grecia, Holanda, Irlanda, Italia, Luxemburgo, Malta y Portugal.

La moneda también es usada en otros cinco países europeos, tanto de forma pactada como no oficial y por lo tanto, es de uso diario por parte de unos 327 millones de europeos. Más de 175 millones de personas alrededor del mundo usan monedas fijadas al euro, incluyendo más de 150 millones de africanos.

La serie de monedas en euros está formada por ocho denominaciones diferentes: 1, 2, 5, 10, 20 y 50 céntimos, 1€ y 2€. Todas las monedas en euros tienen una cara común y otra nacional. Esta última indica el país emisor.
Las monedas en euros pueden utilizarse indistintamente en todos los países de la zona del euro.

En las caras nacionales aparece un motivo específico de cada país, rodeado de las doce estrellas de la Unión Europea.

Tanto el BCE como los bancos centrales de la zona del euro están facultados para emitir billetes en euros. En la práctica, sólo los bancos centrales nacionales emiten y retiran de la circulación los billetes en euros (también las monedas). El BCE no cuenta con un departamento de caja que se ocupe de operaciones con efectivo. Por lo que se refiere a las monedas, los emisores legales son los países de la zona del euro. La coordinación de todas las cuestiones relativas a las monedas en el ámbito de la zona del euro corresponde a la Comisión Europea.

Responsabilidades del BCE y los bancos centrales nacionales

El BCE se encarga de dirigir y supervisar las actividades que los bancos centrales nacionales (BCN) realizan y de proponer las medidas encaminadas a incrementar el grado de armonización de los servicios de caja dentro de la zona del euro, mientras que los BCN se ocupan del funcionamiento de los sistemas de distribución del efectivo a escala nacional. Los BCN ponen en circulación los billetes a través del sistema bancario y, en menor medida, del comercio minorista. El BCE no puede llevar a cabo estas operaciones por no disponer de departamentos técnicos propios (es decir, unidades de distribución, unidades procesadoras de billetes, cámaras acorazadas, etc.).


fdo: Borja Casqureo Herrero

Les relations entre l'UE et ses voisins, en plein essor

Offrir des incitatifs financiers et d'autres à la réforme, une stratégie qui fonctionne.
La politique européenne de voisinage EnglishEspañol (PEV) a renforcé les liens, non seulement les échanges entre l'UE et les pays d'Europe orientale et méridionale. C'est ce que révèle le dernier bilan de cette politique, mais marque aussi un succès majeur dans les réformes économiques pour stimuler les changements démocratiques.

Pour le commissaire, Štefan Füle, "à l'avenir faire un pas essentiel dans les réformes démocratiques et politiques, qui a été un réel progrès, mais généralement plus lent."

La PEV a été créé en 2004, l'année où ils ont rejoint les 10 pays de l'UE, principalement d'Europe centrale, qui a conduit à un déplacement de la frontière près de 1.000 km à l'est et la réunification européenne après des décennies de distance au cours la guerre froide. Cette approche a été motivée par la volonté de l'UE afin d'éviter de nouveaux clivages apparus sur le continent et d'assurer la sécurité et la stabilité de ses frontières.

La PEV offre la plus proche voisins de l'Est et du Sud, sauf ceux visés par la politique de l'élargissement, la possibilité de conclure des accords de libre-échange, une aide financière et la sécurité énergétique et Voyage sans visa.

Aujourd'hui, il semble clair que cette approche incitative encourage la coopération dans des domaines comme le commerce, transports, énergie, environnement, recherche et éducation. Entre 2004 et 2008, avant dépréciation de l'économie mondiale, les exportations vers les pays voisins a augmenté de 63% et les importations ont presque doublé.

À l'heure des réformes, des voisins plus réticents à recourir à l'aide financière de l'UE, qui a augmenté de 32% et qui alloue un budget de 12.000 millions d'euros pour la période 2007-2012.

Mais ils ont aussi de multiplier les contacts des deux côtés de la frontière. Maintenant, il est plus facile de Voyage à l'UE en provenance de pays comme l'Ukraine et la Moldavie: en 2008 ont été publiés plus de 2 millions de visas aux citoyens des pays voisins.

Les récentes élections en Ukraine, la Moldavie, le Maroc et le Liban sont un coup de pouce aux efforts de l'UE pour renforcer la démocratie et la primauté du droit. Mais selon la balance, il reste encore beaucoup à faire, et dans de nombreux pays, la corruption demeure un grave problème.


Ana María Sánchez

Derniéres nouvelles

América Latina y Europa ultiman los documentos de la Cumbre de Madrid

Les représentants de l'Amérique latine et en Europe le dimanche finalisé les documents adoptés lors du sommet de Madrid mardi prochain, y compris la recherche de nouvelles avenues de coopération et de consensus dans les grands défis mondiaux, avec des négociations de dernière minute dans le secteur commercial a également .

Le sommet réunira des dirigeants de 60 pays de l'Union européenne et l'Amérique latine et les Caraïbes, va lancer un plan d'action avec des domaines de coopération prioritaires.
Un débat plus politique ministres des Affaires étrangères des deux régions se réunissent demain à Madrid pour donner le feu vert pour les documents du Sommet et de préparer le terrain pour les chefs d'État et de gouvernement, de se concentrer sur un débat plus politique sur les grandes questions Aujourd'hui, alors que la crise financière internationale que l'Europe souffre d'une virulence particulière.

Au-delà du Sommet, aura lieu le dimanche six autres bilatérale avec le Mexique, le Chili, le lundi, le CARIFORUM et le Mercosur, et le mercredi, 19 avec la Communauté andine et l'Amérique centrale.

Pendant les accords signés au sommet entre l'UE et la Colombie et le Pérou, et espère également faire de centrale avec négociations de dernière minute, ce qui serait les premiers Européens régionales et relancer les négociations avec le Mercosur (Argentine, Brésil, Paraguay et l'Uruguay), bloqué depuis 2004 en raison de difficultés en particulier dans le secteur agricole.

Le Sommet de Madrid sera également le site de nombreuses réunions bilatérales, elles restent aujourd'hui les présidents du Chili, Sebastian Pinera, et du Pérou, Alan Garcia, dont les pays ont un différend devant la Cour internationale de Justice à La Haye par les limites de la frontière maritime.

"Sommet des Peuples"

En parallèle, ont tenu un sommet d'affaires et un "Sommet des peuples", organisée par les mouvements sociaux et les critiques des syndicats du système capitaliste et de juger les ressources naturelles de la multinationale dévaster l'Amérique latine.

Ce dimanche a appelé à une manifestation dans le centre de Madrid sous le slogan «Contre l'Europe du capital, la guerre et sa crise."


Font: Ecodiario

Ana María Sánchez

5/16/2010

Le programme Erasmus



Programme emblématique d'éducation et de formation de l'Union européenne, Erasmus permet chaque année à 180 000 étudiants d'étudier et de faire un stage à l'étranger, tout en soutenant également des actions de coopération entre établissements d'enseignement supérieur dans toute l'Europe. Il s'adresse non seulement aux étudiants mais aussi aux professeurs et employés d'entreprise qui souhaitent enseigner à l'étranger, ainsi qu'au personnel universitaire qui veut bénéficier d'une formation à l'étranger.

Pour les étudiants:


* études à l'étranger
* stage à l'étranger
* préparation linguistique


Pour le personnel d'établissement universitaire/d'enseignement supérieur:

* enseignement à l'étranger
* formation à l'étranger

Pour les établissements universitaires/d'enseignement supérieur:

* programmes intensifs
* réseaux académiques et structurels
* projets multilatéraux


Pour les entreprises

* stages d'étudiants
* enseignement à l'étranger
* coopération universitaire

María de la Plaza Fernández

En plus


Altiero Spinelli (1907-1986)
Politicien italien fut l'un des pères de l'Union européenne. Il fut l'instigateur du projet de traité instituant une Union européenne fédérale présenté par le Parlement européen - le dénommé plan Spinelli. Ce projet fut adopté à une forte majorité en 1982 par le Parlement .
Jouant un rôle de conseiller de Gasperi, Spaak et Monnet, il travailla à l'unification de l'Europe.

María de la Plaza Fernández

Un autre père de l' UE


Sir Winston Churchill (1874-1965)
Premier ministre britannique (1940-1945 et 1951-1955), fut l'un des premiers à demander la création des «États-Unis d'Europe». L'expérience de la Seconde Guerre mondiale l'avait convaincu que seule une Europe unifiée pouvait assurer la paix. Son objectif était de refouler une fois pour toutes les passions nationalistes et belligérantes de l'Europe.
C'est ainsi que l'homme qui avait été le moteur de la coalition contre Hitler devint un militant actif de la cause européenne.


María de la Plaza Fernández

Père de l'UE


Konrad Adenauer (1876-1967)

Le premier chancelier de la république fédérale d'Allemagne, qui fut à la tête de ce nouvel État de 1949 à 1963.

Comme de nombreux politiques de sa génération, Il avait déjà pris conscience après la Première Guerre mondiale qu'une paix durable ne pourrait s'instaurer qu'à travers l'unification de l'Europe.

En l'espace de six ans seulement, de 1949 à 1955, Adenauer réalisa des objectifs de politique étrangère :l'adhésion au Conseil de l'Europe (1951), la création de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (1952) et l'entrée de l'Allemagne dans l'OTAN (1955).La réconciliation avec la France fut une des pierres angulaires de la politique étrangère d'Adenauer.

María de la Plaza Fernández